Le GES et ses revendications d'indépendance ne sont pas reconnus officiellement par la France ou la communauté internationale
D'après les informations disponibles, le GES GOUVERNEMENT DE SAVOIE n'a pas communiqué de plan détaillé pour financer son prétendu gouvernement indépendant. Les résultats de recherche ne fournissent pas d'informations spécifiques sur le financement d'un gouvernement savoyard indépendant. Il est important de noter que :
Le GES et ses revendications d'indépendance ne sont pas reconnus officiellement par la France ou la communauté internationale
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Les déclarations du GES semblent se concentrer davantage sur les aspects juridiques et symboliques de leur revendication d'indépendance plutôt que sur des aspects pratiques comme le financement
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Le financement d'un gouvernement indépendant nécessiterait des ressources considérables et des structures économiques qui ne sont pas mentionnées dans les informations disponibles sur le GES.
Sans reconnaissance officielle ou soutien international, il serait extrêmement difficile pour le GES de mettre en place un système de financement viable pour un gouvernement indépendant. Les mécanismes de financement traditionnels d'un État (comme la fiscalité, les emprunts publics, ou la gestion de ressources nationales)
ne seraient pas accessibles à une entité non reconnue. Il est possible que le GES compte sur des dons ou des contributions volontaires de ses sympathisants, mais cela ne constituerait pas une base financière suffisante pour soutenir les fonctions d'un gouvernement. En l'absence d'informations concrètes sur leurs plans de financement, il est impossible de dire comment le GES envisage de financer ses activités ou un éventuel gouvernement indépendant.
https://www.huffingtonpost.fr/actualites/article/le-senat-souverain-de-savoie-declare-l-independance-vis-a-vis-de-la-france_170900.html
Le rassemblement autonomiste était « une mascarade » selon le fondateur des Savoisiens
Antoine CHANDELLIER - 10 oct. 2020
https://www.ledauphine.com/politique/2020/10/09/une-mascarade-pour-le-fondateur-des-savoisiens
Le rassemblement d’une cinquantaine d’autonomistes savoisiens à la nécropole de Morette, lieu de mémoire dédié à la Résistance, le dimanche 4 octobre, n’en finit pas de faire réagir. Après les associations d’anciens combattants ou le préfet de Haute-Savoie, c’est Jean de Pingon, le fondateur de la Ligue savoisienne, créée en 1994 et dissoute en 2012, qui nous écrit. “J’ai lu dans Le Dauphiné Libéré les commentaires sur les derniers exploits d’un groupuscule qualifié de savoisien parce que ceux qui le composent agitent des drapeaux de Savoie et tiennent des propos que je ne commenterai pas.”
Se revendiquant du mouvement Sénat souverain de Savoie, les indépendantistes entendaient par leur cérémonie recréer l’Etat de Savoie, sous le regard vigilant des gendarmes. Un événement qui, selon le théoricien savoisien, porte ombrage à la cause. “Il est clair à présent que ces gens sont manipulés par quelqu’un qui n’œuvre pas à l’indépendance de la Savoie. […] La mascarade organisée à Morette est une façon de plus de porter le discrédit sur une cause qui a « indisposé » le gouvernement français lorsque je l’ai contraint en 2010, par mes révélations historico-juridiques, à demander l’enregistrement du Traité d’Annexion auprès de l’ONU. […] Nous reparlerons sérieusement de cela lorsque renaitra la Ligue savoisienne.”
A la tête de l’organisation Sénat de Savoie, organisatrice du rassemblement du 4 octobre, mais aussi de la manifestation anti-masques de Chambéry le 6 septembre dernier, le porte-parole Thierry Bécourt s’est présenté comme enseignant du côté d’Annemasse, sans s’étendre.
Thierry Bécourt, candidat aux législatives dans le Nord de la France
Originaire du Nord de la France, où il a été candidat aux législatives sous l’étiquette “La France en action”, il exerce ses activités entre Annecy et Genève. Ancien de l’Education nationale, il se décrit dans ses différents profils comme consultant en ressources humaines, coach scolaire, enseignant en théosophie et spécialiste en psychologie transpersonnelle, faisant valoir des compétences en astrologie. Le Savoisien se targue d’avoir fondé une discipline, la « psychanimie » et via son propre institut d’avoir développé un « instrument d’évaluation en psychologie spirituelle permettant de favoriser l’alignement entre l’âme et la personnalité ». Dans les années 2000, il a eu maille à partir avec les associations anti-sectes au nom du mouvement de la Coordination des associations et des particuliers pour la liberté de conscience (CAPLC), assurant défendre les « minorités spirituelles alternatives ».
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